Ne pas perdre le contact avec les équipes et connaître la situation dans les entreprises à la suite du confinement. L’enquête lancée au début avril par la Fédération Chimie-Énergie aura duré une quinzaine de jours.
Au total, 460 sections syndicales auront répondu au questionnaire, dont les items de la première partie portaient tant sur les mesures sanitaires prises par l’entreprise que sur la mise en place du chômage partiel et du télétravail. La seconde partie traitait des besoins des militants. « Nous avons eu une quinzaine de demandes de soutien, principalement sur la mise en place des mesures sanitaires ou le maintien des salaires », indique Mickaël Gras, délégué fédéral chargé de l’action revendicative. D’après les équipes qui ont répondu à l’enquête (pour 68 %, leur entreprise ou leur site industriel a continué à fonctionner pendant le confinement), le dialogue social a pu se poursuivre, tant bien que mal, avec des dispositifs…